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je seré si triste si tu meurs ke je pouré fer dé coneri
14/06/2006 15:25
Ce matin j'ai appris que tu étais morte, Qu'on t'avait découverte,allongée deriere ta porte, Dans une ain une lame de rasoir, Dans l'autre un poème d'au revoir, Tu me dis que la vie est cruelle, Et que tu la quitte pour une plus belle, Que tu m'aimeras toujours, Meme si tu as mis fin à tes jours, Ce matin là,je me rendais à l'école, Prete à t'acceuillir à faire la folle, Je t'ai attendu devant le portail, Tu n'es pas venu,la peur à serrer mes entrailles, J'ai cru un instant que tu étais en retard, Et que je te retrouverai plus tard. Mais tu n'es pas venu, Meme si je t'ai attendu. Je t'avais fait une lettre, A toi ma Tichonette, Ou je te disais que je t'aimais, Et que plus rien ne nous séparerai. Que tu étais la seule qui savait me faire rire, Et que l'on était trop jeune pour mourir, Le monde s'est arreté de tourner, Sans que je lui est demandé, Tout à basculer, Je suis déprimée, J'ai décidé moi aussi de tout areter, De laisser l'amour pour rejoindre l'amitiée, Qui serait éternelle, Et...jusqu'à la fin des temps toujours aussi belle..
Commentaire de tichonne (23/06/2006 21:24) :
merci, pour se poéme, mé je ne tabemdonneré pa donc ne mabondonne pa non
plu. l'amitié é plu for ke tou, é je sui la pour te le prouvé
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